Santé & bien-être

la biorésonance

Toute forme de matière est composée d’énergie et émet de l’énergie.

Chaque cellule, chaque partie du corps ainsi que les virus, les bactéries, les pollens, les plantes, les substances naturelles ou chimiques émettent une énergie spécifique sous forme de vibrations.

Chaque être vivant ou substance émet des vibrations selon une longueur d’onde et une fréquence caractéristiques qui lui sont propres.

Le corps humain sain émet donc un faisceau d’ondes - de longueurs et de fréquences diverses - (correspondant à tous les organes) dont la mesure globale (exprimée par la conductance) représente une courbe homogène.

Les cellules communiquent entre elles.

Les vibrations émises par chaque cellule servent à la communication.

La science a su démontrer qu’au sein de tout organisme vivant il existe une communication intercellulaire permettant de réguler son fonctionnement (croissance, sécrétion...).

Cette communication intercellulaire a été démontrée par un physicien allemand réputé, Fritz POPP, dans les années 1975 (théorie des biophotons).

Dans un corps sain la communication intercellulaire est harmonieuse.

Cela permet à chaque cellule, respectivement à chaque partie du corps, d’accomplir la tâche qui lui est destinée, au profit de l’équilibre de l’ensemble de l’organisme.

Certaines influences ou substances nocives peuvent « parasiter » la communication entre les cellules.

Lorsque des substances nuisibles (substances toxiques, surcharge de radicaux libres, virus, bactéries, etc.) ou agents physiques (des irradiations, électrosmog, pollution…) agissent sur le corps, ils créent des interférences et perturbent la communication entre les cellules.

Une communication intercellulaire perturbée
peut provoquer des symptômes ou des maladies.

Si la communication entre les cellules est parasitée, le travail cellulaire peut être perturbé.

Les conséquences se manifesteront plus ou moins rapidement : malaises indéfinis, baisse de rendement, fatigue chronique...

Si la perturbation dure, cela peut entraîner des transformations organiques (lésions d’organe) accompagnées de symptômes spécifiques à une maladie.

Bien souvent les symptômes apparaissent là où siège déjà une « faiblesse » ou une fragilité héréditaire.